D'un côté du mur, on se sent accueilli et en sécurité. De l'autre côté, on se sent exclu et vulnérable. C'est pourtant le même mur.
C'est à la hauteur des murs qu'on reconnaît une prison ou un château.
Les murs permettent de distinguer les bons des méchants, les civilisé des sauvages, les riches des pauvres : ceux qui ont besoin de murs et les autres.
On peut être devant un mur ou frapper un mur sans qu'il y ait de mur.
On a le choix : regarder le mur ou lui tourner le dos et regarder ailleurs.
La fenêtre dans le mur fait oublier le mur.
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