Étolane en parle si bien que j'emprunte ses mots :
(...)
Pour que le sang arrête de couler, apprendre du passé et s'efforcer de ne pas le recréer sous une autre forme plus contemporaine mais tout aussi effroyable.
Les géants s'amusent au chaud dans leurs bureaux ovales, au loin des hommes meurent, petits soldats de plomb. Les populations souffrent, les géants s'enrichissent. Pourquoi tant de haine en notre humanité?
En souvenir de ce jour D, je dépose en ce jardin de mots, une gerbe de soleil. Un petit bout de réalité. Un morceau de paix. Un hommage silencieux. Une goutte d'espoir. Un rayon de lumière sur une marée de peines...
« Un matin pas comme les autres : Remembering D-Day... », dans Vol de mots
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