« Le monde se départage entre les pays où on se tue et les autres où on lutte pour ne pas se tuer. Car telle est la nature humaine. (...) "L'homme est un loup pour l'homme." L'affirmer s'impose à nous quand on observe, jour après jour, les événements mondiaux. Et ce qui est grave, c'est la désensibilisation que la répétition des horreurs provoque chez la majorité des gens. »
Denise Bombardier, « Éternel recommencement », dans Le Devoir, édition du 6 mars 2004
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